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3.38/5

Truth Or Dare: 6th Floor Rear Flat

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les avis de Cinemasie

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visiteurnote
wa 1.5
Secret Tears 2.5
Piaku 1
mattMAGNUM 5
La girardasse 5
koneko 4.5
Jemo 2.75
Iron Monkey 4.25
gerald 3
french touch 3.5
conrad 4.5
Chang La Rage 4.25
Anicky 4
anee 2.25


classer par notes | date | rédacteur    longueurs: toutes longueurs moyen et long seulement long seulement

mouais

J'ai matté que le début (30 minutes), apres une intro super chiante et sans intérêt, on nous balance un espece de ragou cinématographique, ambiance costumes traditionnels, qualité pourrie, acteurs mauvais (grosse déception sur stephen chow...). Bref, un bon gros ramassis de blagues bien grasses pour une histoire apparemment sans intérêt. Je mets 1 parce que j'ai pas eu le courage de regarder la suite, j'ai peut etre loupé un bon moment....................

26 mai 2003
par Piaku


UN MODELE DE PERFECTION

ce film est la quintessance du beau sur 3h!! King HU est un maitre,et "a touch of zen" est son plus grand chef d'ouvre. le film transcende le wu xia pian pour devenir une veritable synthèse de tous les arts(peinture,opera,theatre...) qui a peu d'equivalents dans l'histoire du cinema("ivan le terrible" d'eisenstein,etc...) ce qui frappe tout d'abord est sa perfection formelle;puis on est transporté dans un univers poetique et raffiné,au souffle lyrique indiscutable une des plus grandes merveilles méconnues du cinema mondial

15 juin 2003
par mattMAGNUM


Boulversant

Il faut aller une fois dans sa vie au Tol Sleung, ancienne école au centre de Phnom Penh transformée en prison par les khmers rouges pour ressentir l'horreur du genocide khmer. Là où s'est deroulé l'un des drames de l'humanité sont exposés (la prison est devenu musée) les instruments de torture, des tableaux, et sutout tant de photos des victimes (que l'on voit dans le film) de ce massacre insensé. Et c'est dans ce lieu précisemment que ce film documentaire admirable tente justement de donner un sens à cette horreur. En confrontant victimes et leurs bourreaux (qui d'ailleurs se définissent aussi en victimes), le réalisateur nous livre un témoignage si boulversant qu'il est impossible de retenir ses larmes. Qu'est ce que l'humanité? Ce film remarquable sur le génocide khmer est une réflexion sur la folie de l'homme. Pour compléter la réflexion sur les années noirs du Cambodge, lire notamment "le portail" de François Bizot et "Voices from S21"de David Chandler...

04 juin 2003
par La girardasse


Bof, je vois pas en quoi ce film serait plus nul qu'une série B ricaine de base ou qu'un gros blockbuster pop-corn. Il ne mérite pas tant de haine ni d'étonnement négatif. De la part de l'équipe de Stormriders et A Man Called Hero, je m'attendais à bien, bien pire ! C'est carrément le meilleur des trois, parce que le moins bavard, le plus abouti et crédible visuellement, le moins lourdingue, le plus fun et le plus généreux sur tous ses effets. Ok, c'est du formaté-commercial-MTV like, mais bon...pour peu qu'on soit fan de films complètement gratos jouant la carte du jeu-vidéo, de la synthèse et des combats flashy à lasers et ondes de chocs, Avenging Fist peut alors vous combler d'autant plus que les effets spéciaux assurent ce qu'il faut là où il faut, même s'il est moins convaincant sur son intrigue ou ses scènes plus intimistes. Rien de fondamentalement honteux en tous cas. Ok, c'est pas le meilleur kung-fu qu'on ai vu, mais voila...il va falloir que les puristes et spécialistes du genre, peut etre légèrement vieillissants ou moyennement synchros avec certaines références de notre époque, nous lachent la grappe deux secondes avec leur exigeance chorégraphique et leur mythologie Shaolin, parce qu'on pourrait aussi leur reprocher de ne plus être en phase avec certains recents films souvent plébiscités par tout un certain public ou une génération et qui sont carrément en train de faire école. D'inspiration vidéo-game, cyber, manga et "techno-spirit", cet Avenging Fist fait partie de clib fermé et les créateurs de Matrix Reloaded ont du précieusement le voir au même titre qu'un Volcano High. C'est vrai que ces films cultivent la gratuité la plus complète, se complaisent à se justifier souvent par un univers esthétique numérique fortement revendiqué, et proposent des combats "esbrouffes" mettant en scène tout ce qu'on veut sauf des athèltes....et alors ? Je trouve pour ma part qu'ils sont souvent très généreux sur leurs effets et qu'ils proposent souvent des structures de narration originales et décalées. On s'emmerde rarement en tous cas. Pour moi ces films sont en train de subir les mêmes critiques que la techno à ses débuts, a savoir que c'est une pale copie de sons acoustiques ou humains, à effets pompiers et faciles ne valant jamais les "originaux" (les combats?), que c'est creux, linéaire, déshumanisé et vide de sens (la narration zapping-MTV ou manga-fun ?), que ce n'est pas de la musique (et pas du cinéma ou du "bon-vrai" cinéma là?) et pourtant quel pied sensoriel et visuel souvent ils proposent. Le côté plastoc, sytnhèse et numérique est un style assumé et revendiqué, au même titre que c'est maintenant une forme d'ésthétique à part entière. Mais encore faut-il les prendre avec le bon angle et être un minimum receptif aux références et aux univers abordés. Quand à moi je conserve précieusement tous mes Legend of Zu, Volcano High, Black Mask 2, Avenging Fist et bientot Matrix Reloaded que j'attends impatiement en DVD maintenant. Le temps jouera en leur faveur je pense.

29 mai 2003
par Jemo


Blood Art

Avant, il y avait eu les deux Batman de Burton, Les 3 Supermen défiant l’Orient et le Blindman de Ferdinando Baldi et le mexicain Santo. Dorénavant il faudra compter avec le génial Blade 2 de Guillermo Del Toro. Complètement assumé premier degré, à bas l’ironie niaise qui pollue le cinéma actuel, ce film est réussite formelle absolue. Maîtrise des cadres, grande utilisation des espaces, et acteurs taillés dans le roc, tels sont les ingrédients de ce jouissif film d’action. Cocktail détonnant de film de vampires avec tout le gothique qui va avec et de films d’arts martiaux, ni plus ni moins. Wesley Snipes est l’un des acteurs les plus plausibles quand il s’agit de magner la savate, sa gueule carrée est parfaitement figée dans le cadre-image, et son jeu tout en décontraction lui confie une certaine stature. Autre atout de poids la présence de seconds couteaux comme Ron Perlman et Kris Kristofferson qui ont toujours leur place au rayon des freaks du cinéma d’exploitation. Blade 2 est une ode à la défonce complètement assumée et puissamment jouissive. Dorénavant le cinéma de super héros aura une toute autre allure, Sam Raimi et Spidey en rajouteront une couche dans un style à la fois respectueux et différent, bientôt Ang Lee nous promet un géant vert à tout faire péter. En tout cas voilà un cinéaste mexicain qui sait faire le spectacle, comme Santo en son temps…

27 mai 2003
par Iron Monkey


Space Opera Adventures

On pourrait dire qu'il s'agit d'un résumé de la série mais ce n'est pas le cas puisque ce film a précédé la série TV. Plus hot que la serie TV mais l'action est également présente....

01 juin 2003
par french touch


vraiment excellent tout le long!

tout est excellent dans ce film! que ce soit l'humour, les effets speciaux ou bien les acteurs. entrainant du debut a la fin, c'est que du bonheur! ^^ hilarant, jouissif, hallucinant! voila trois mots qui pourrais définir le film. que celui qui ne l'a pas vu s'empresse de le voir! honte a lui! parce qu'il passe a coté de l'un des films les plus droles du ciné asia lol. ;=) ps: je trouve vraiment abusé que le film en France ai été charcuté ! 15min de moins ! quelle idée d'aller couper des bouts de films! c tout simplement honteux! fallai que je le dise.

19 mai 2003
par conrad


kitano s'exorcise

Dans tous les films de Kitano qu'il m'ait été donné de voir, les personnages retournent toujours vers la nature au moment où ils se sentent le plus perdus, au moment où ils remettent tout en question. Si l'attention est davantage portée sur la mer, je pense que c'est de la anture en général qu'il s'agit. Elle est une sorte de finalité dans les films de Kitano, et ce film, plus que tout ses autres, en est la preuve. C'est en effet la nature l'héroïne du film, et le seul vrai point commun à ces destins qui se croisent sans se voir. Comme le dit Kitano lui même, il a voulu filmer de beaux paysages, tout en mettant en valeur la cruauté de la nature. Les images sont magnifiques, et donnent un aspect totalement hors du temps à l'histoire des amants errants, personnages à la fois intemporels et à la fois anachroniques, comme le prouve la séance de Bunraki au début du film. La mise en scène, très soignée comme d'habitude, contient plus de mouvements de la caméra, plus de travellings, la plupart allant de gauche à droite (est-ce symbolique?). Les images s'appuient moins sur la musique que dans ses autres films. En effet, la Bo de Isaishi (magnifique, une fois de plus, mais composée d'un seul vrai thème principal) n'apparait que très peu tout au long de l'histoire. Comme si Kitano avait voulu appuyer le retour à la nature en dénuant son film d'autant d'artifices que possible (j'entends éléments extérieurs de réalisation). L'accentuation faite sur chaque plan créé vraiment une ambiance particulière, on se croirait en plein surréalisme. Ici, il n'y a pas d'espoir, c'est sans doute l'un des films les plus tragiques de Kitano, chacun pense pouvoir échapper à son destin, et retourne vers la nature avant de s'écrouler, "englouti" par les éléments (d'où une explication possible de l'image récurrente de la mer dans l'oeuvre de l'auteur, qui représente à la fois l'isolement et l'engloutissement). J'aime beaucoup le montage, l'alternance entre les différentes histoires se fait très naturellement, on passe d'un personnage à l'autre sans que la compréhension n'en soit gênée, et on s'attache rapidement à chacun d'eux. Cette alternance créé un rythme contrastant avec la longueur des plans, jusqu'à la scène finale, qui doit être l'une des plus longues, si ce n'est la plus longue, où les plans sont les plus longs, l'ambiance devient alors plus pesante que jamais, le tragique prédit dès la première scène est inévitable, la catharsis reprend ses droits et toute le désespoir inonde l'âme. Un très beau film, à la fois très proche et très différent de l'ouvre de Kitano, peut être un moyen de combattre une fois pour toute ses démons avant de repartir vers autre chose...

26 juin 2003
par Chang La Rage


Bouleversant

Quinze ans de la vie d'un village chinois, à travers la vie d'une femme, ses épreuves, ses amours, ses rêves et son accomplissement. La femme, c'est la bouleversante Liu Xiaoqin, présente d'un bout à l'autre du film ; le village, c'est une foule de personnages d'une bouleversante humanité, tantôt cupides, tantôt généreux, tantôt cruels, tantôt compatissants, que l'Histoire vient troubler sous forme de la jeep du gouvernement. Le film est très long ; je ne trouve pas qu'il soit trop long (la construction est précise et les répétitions voulues), mais il agace parfois les dents avec son fouillis, mélange de symboles, de pénibles effets musicaux, de parodies d'épopées prolétariennes, de réalisme, de passages oniriques et d'admirables scènes d'amour (bouleversant Jiang Wen).

30 mai 2003
par Anicky


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