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Sous un rayon de soleil
les avis de Cinemasie
3 critiques: 4.67/5
vos avis
2 critiques: 3.75/5
La beauté tranquille
La beauté à l'état pure
Hojo nous offre réellement un chef d'oeuvre. Le scénario, sans être trop compliqué est tout simplement BEAU. Les dessins, sont d’une qualité remarquable et l'ambiance mise en place est excellente pour décompresser. On se croirai presque dans un immense parc rempli de verdure. Ce serai d'ailleurs une bonne idée d'endroit pour relire la série...
Un destin d'une grande tristesse
Mais comme souvent, une trop grande beauté cache une grande tristesse. Le destin de Sarah, qui a certes la faculté de communiquer avec les plantes, est en même temps tragique. Elle est contrainte à ne pas vieillir et donc à voir passer les personnes dans sa vie sans jamais pouvoir lier avec eux de liens trop profonds ou durables...
Une pure merveille ! Il faudrait être totalement insensible pour ne pas aimer !
Sous un rayon de soleil est bien plus qu'un merveilleux conte écologique. Il vous transportera comme peu d'ouvrages peuvent le faire. Un scénario riche, une intrigue passionnante, des personnages attachants, des dessins époustouflants. Ouvrez ce livre et vous ne le lacherez plus... Du très grand Tsukasa Hojo!
bucolique critique
Sarah est une jeune fille très spéciale qui intrigue autant qu’elle charme son entourage. L’histoire débute lorsque celle-ci arrive dans une nouvelle ville avec son père, fleuriste et sosie de mammouth de nicky larson ! Elle va vite faire la connaissance d’un jeune garçon en l’empêchant de massacrer un arbre qu’il juge responsable de l’accident de sa sœur. Il s’avère au fur et à mesure que l’histoire avance que Sarah est bien trop mature pour une enfant de son âge, d’autant plus qu’elle possède un pouvoir étrange et merveilleux, celui de communiquer avec la nature …
Cette courte série à l’avantage d’être l’œuvre de Tsukasa Hojo, qui réussi à rendre crédible et belle une histoire de réelle communion de l’homme avec la nature. Au final il ne s’agit pas là d’un conte pour enfant, mais plutôt d’une fable bouddhiste, dans le sens ou elle prône un respect mutuel entre la nature et l’homme, ouaip.
11 novembre 2001
par
tonio