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Les Dieux du Jeu

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les avis de Cinemasie

11 critiques: 3.36/5

vos avis

41 critiques: 3.56/5

visiteurnote
Guesar 5
Fred30 5
Sébastien 5
balboa 4.75
Mémé 4.75
Secret Tears 4.25
Jérémy 4.25
Hots@uce 4
Hotsu 4
Khanh 4
Sauzer 4
La girardasse 4
Leng Neuil 4
Nemesis8sin 4
lo sam pao 3.75
jeff 3.75
Maggielover 3.75
Phildu62 3.75
FREDDYK 3.75
paparakos 3.5
HK Tipee 3.5
Iron Monkey 3.5
Khanheda 3.5
jeff_strike 3.5
chronofixer 3.5
Hidelirium 3.5
Bastian Meiresonne 3.5
omnio 3.25
Miyuki 3.25
pikoti 3
Chang La Rage 3
Illitch Dillinger 3
Anicky 3
Chip E 3
Manolo 3
QuyTam 2.75
bluesky 2.75
Sifu Tetsuo 2.75
cityhunter 2.5
hayaku 2.5
mattMAGNUM 0.5


classer par notes | date | rédacteur    longueurs: toutes longueurs moyen et long seulement long seulement

Wong Jing au top !!!

Certains vous diront que c'est "Casino raiders", d'autres vous diront que c'est "God of gamblers" qui a lancé la mode des films de jeux. Dur de savoir mais en tout cas ce qui est sur c'est que toutes les parodies (en particulier Chow Sing-chi) ou les dérivés lorgnent plutôt du coté de "God of gamblers": coupe au gel, ralentis... Ce film a en effet tout pour plaire. D'abord un casting de choc: Chow Yun-fat, Andy Lau Tak-wah, Wang Tsu-hsien, Cheung Man-cheuk, les méchants habituels Shing Fui-on, Ng Man-tat et j'en passe. On y ressent ensuite l'envie de Wong Jing de satisfaire tout le monde. Tous les ingrédients du film hong-kongais y sont réunis: comédie, action, violence, romantisme... Wong Jing passe de l'un à l'autre avec une aisance déconcertante et ce pour notre plus grand plaisir. Le gunfight dans le parking est vraiment jubilatoire, le film vaut d'ailleurs le détour rien que pour ça. Quand à Chow Yun-fat, si besoin en était, il confirme ses talents d'acteur et Wong Jing ne pouvait pas faire mieux ressortir son charisme. Un MUST !!!

04 décembre 2000
par Sébastien


Un des meilleurs films de Wong jing avec un Chow Yun Fat au top de sa classe et une musique entrainante. La naissance d'un genre et un film typiquement hongkongais par ses nombreux changements de ton.

11 août 2010
par Jérémy


Un classique du divertissement HK

Il y a de tout dans ce film : de l'action, de la comédie, du suspense, de la classe,...  c'est très diversifié, il se passe pleins de trucs et l'ambiance est géniale. Wong Jing ne se concentre pas sur l'humour débile mais bien sur l'aventure, c'est pour ça que c'est un classique.

18 avril 2007
par Hotsu


Chow Yun Fat en dieu du jeu: encore un rôle culte

Même si on peut détester le milieu du film, où Chow Yun Fat joue un débile mental et où l'humour est parfois lourd, Le reste du film est particulièrement jouissif. Le rôle du dieu du jeu est en effet parfaitement taillé pour lui. La réalisation de Wong Jing n'est pas en reste et donne encore plus de classe au film (voir le ralenti à la fin où CYF débarque dans le bateau). Les scènes de gambling sont époustouflantes, notamment au début, avec le mah-jong ou après, quand CYF bat des cartes. Quand aux gunfights, il y en a peu mais ils sont très agréables à voir (par exemple quand le garde du corps sauve le bébé). Dommage cependant que CYF se transforme en gamin, je trouve que ca débilise trop le film (ca reste malgré tout un Wong Jing)

14 janvier 2001
par Khanh


Un divertissement de premier ordre...

Les jeux de hasards sont populaires à Hong Kong, c'est un fait. A tel point qu'est né le « gambling movie ». Véritable sous genre cinématographique, ces films sont portés sur le goût du jeu, l'attrait du jeu, l'enjeu du jeu. Mais si le genre en lui même n'est pas nouveau, il faudra attendre le début des années 1990 pour le voir eclater à profusion, donnant lieu à un nombre incalculable de films du genre. Cette vague sera dûe à Wong Jing et à son God of Gamblers, premier opus mythique d'une longue saga composée de suites, de suites alternatives, de spins off, et j'en passe.

Ko Chun est le « god of gambler », un dieu du jeu, ne perdant jamais une partie, qu'il s'agisse de cartes, de dés, ou de n'importe quoi d'autre. Lorsque l'une de ses connaissances lui demande de défier un joueur redoutable (et tricheur), Chan, le dieu du jeu accepte sans hésiter. Surviens alors un accident qui le rendra partiellement amnésique, le faisant retomber à une mentalité de presque enfant. Recueilli par un malfrat un peu loser, ce dernier se servira de la faiblesse du dieu du jeu pour gagner de l'argent via son talent, qu'il a malgré tout conservé.

Divertissement sera ici le mot d'ordre du film. On comprend bien aisément qu'un film centré uniquement sur le jeu ne puisse pas conserver son interêt sur deux heures, ainsi c'est un véritable fourre tout, un joyeux n'importe quoi qui servira de péripéties entre deux scenes de l'intrigue princpipale, ici les cartes. On passera donc du comique au drame, du drame à l'action, de l'action au sentiment, sans jamais que l'un de ces genres ne soit spécialement prédominant, ou prédominé. Chacun y trouvera son compte, qu'il s'agisse de gunfight, de cascades (mention spéciale à Andy Lau et à sa scene de poursuite dans les échafaudages.), ou encore de situations burlesques, le réalisateur fait feu de tout bois et réussit à accrocher le spectateur sur toute sa durée sans trop de mal, tant il (le film) se révèlera attachant sous bien des aspects. De par son ambiance musicale, d'abord, excellente en tout point et ponctuée par le theme du film, absolument culte, propre aux scenes de jeu. De par son casting ensuite, semblant s'être finalement lui aussi pas mal amusé durant le tournage, composé de noms tels que Joey Wong Tsu Hsien, de la très belle Sharla Cheung Man, de l'excellent Andy Lau, et surtout du mythique Chow Yun Fat, qui ajoute ici par son rôle de god of gambler un personnage mythique de plus à son portrait. Le voir ainsi, cheveux gominés et smoking sur mesure, manier cartes et dés avec une aisance et un naturel aussi élégant qu'effroyable est un plaisir de chaque seconde, et sa prestance dans cette tenue n'ayant d'égal que sa prestation d'amnésique retombé en enfance, tantôt drôle, tantôt touchant, tantôt exaspérant, mais toujours divertissant.

Un gambling movie ET un divertissement de premier ordre donc une pierre d'angle pour un genre si attaché à son pays, se plaçant bien au dessus du lot passé et futur de ses semblables par son casting magistral, se mise en scene diversifiée mais pourtant cohérente, et sa réalisation sans réelle autre prétention que celle d'amuser. Mythique.



26 janvier 2011
par Nemesis8sin


Casino royale...

God of gamblers (les dieux du jeu) est une oeuvre originale et ludique qui redefinit le concept de gambling au cinema deja introduit par d'autres films plus ou moins reussis ("l'arnaqueur","le kid de cinccinati" ou a HK "un homme nommé tigre"). Avec son rythme dementiel et ces morceaux de bravoure hors du commun, god of gamblers est un film qu'on regarde avec beaucoup de plaisir. Chow Yun fat interprete un...un...dieu du jeu! bravo! a l'instar du personnage de Robert De Niro dans "Casino" de Scorsese (dont la realisation est anterieure) qui connait sur le bout des doigts tous les jeux possibles et imaginables. Le scenario imprévisible est sympathique et renforce l'aspect ludique. L'atmosphère est vraiment attachante avec ses salles de jeux clandestines entre amis, espace cerné de journaliste ou yacht luxueux. Sans oublier quelques passages comiques (plus ou moins lourds) ainsi que quelques scènes d'action assez violentes et dynamiques. Un classique.

08 avril 2002
par lo sam pao


film a 2 visages

wong jing ose tout et chow yun fat est grandiose, la premiere partie du film est serieuse avec une partie de mah-jong comme on en a jamais vu, puis cyf deviens amnésique suite a une chute et la on assiste a des scenes un peu lourdes. la derniere partie du film est génial quand ko chun (cyf)retrouve tous ces moyens. j'ai bien aimé malgré une certaine longueur dans quelques scenes.

11 décembre 2001
par jeff


Images et tremblements.

De Wong Jing, il suffit de ne retenir qu'une chose: qu'au milieu de la dépression généralisée qui écartèle la nostalgie des images dans des espaces toujours plus rares, il n'y aura jamais que sa prolixité pour rappeler les Dwan, les Niblo, les Fitzmaurice, voire les Feuillade, tous ces auteurs de la série, du succès et de la recette ; tous ces "faiseurs" d'images hanté par le souvenir d'une scène qu'il n'auront jamais. Le cinéma, pensent-ils, c'est du théatre. Avec Wong Jing, metteur en scène grotesque dont le portrait avide rappelle le juif Shylock du Marchand de Venise, vit encore le souvenir d'un régime de l'image branlant et asservi à un système qui n'a pas encore découvert l'autisme bressonnien du "cinématographe". Alors, pour cela, et en ne filmant que comme s'il ne s'agissait jamais, pour toute image, que de vivre à la télévision, que d'épuiser le régime de série qui lui est quintessentiel, Wong Jing est peut-être le plus grand cinéaste d'une industrie qui ne s'est jamais pensée comme autrement que telle. A l'instar du Hollywood des années 20, dernière grande usine à rêve d'un occident défait.

11 août 2002
par Maggielover


UN FILM CORRECT

Un film sympa. A voir pour un duo CYF/LAU excellent.

08 juin 2002
par FREDDYK


The Killer in the casino...

Un agréable cocktail de genres concocté avec maîtrise par Wong Jing !!!! Et oui, il est capable de bien faire quand ses considérations sont autres que purement commerciales, il est quand même un ancien scénariste très habile (voir l'immense Prodigal Son. Chow Yun Fat est toujours aussi classieux, même lorsqu'il tombe sur la tête, Andy Lau est bien...

01 novembre 2001
par Iron Monkey


Chow Yun Fat est trop classe

Vraiment, quand on voit ce film, on a qu'une idée dans la tete, la classe. Et ce, malgré la période "chocolat", destinée visiblement a poursuivre l'intrigue et a sauver des scénaristes en panne d'idées. Et oui, on arrive a oublier les cotés cheap du ciné de HK, de par la présence de cette légende, Chow Yun Fat. Etre, dans tous ces films, définitivement a part. Grace, élégance dans le cadre qui le sublime, et particulièrement dans le film, qui, a coups de gros plans, ralentis et travelling, nous procure ce sentiment de sublime kantien. Un sentiment réitéré dans a better tomorrow, the killer et cie. Chow est un etre transcendental, un dieu...

03 juin 2002
par Khanheda


un joyeux bordel !

ça passe du coq à l'âne, chow cabotine à mort, wong jing quoi ! le film reste divertissant mais est un poil trop long pour maintenir l'attention.

18 octobre 2002
par omnio


Sympathique mais bien trop long.

Etant donné la réputation de film culte, je m'attendais à un divertissement de très haut niveau. Et si quelques scènes sont mémorables, force est de constater que la partie où Chow est amnésique, extrêmement longue, plombe grandement le film.

Vraiment décourageante, cette partie est malheureusement plus importante que les autres. Il y a un véritable déséquilibre dans ce film, dont le rythme en dent de scie peut rebuter. Heureusement, Chow yun fat arrive à rendre n'importe quel personnage magique (passé 1986 disons). Et là où tout autre que lui aurait été ridicule, il réussit à faire sourire et à se montrer émouvant.

Andy Lau, encore débutant, est sympathique, mais un peu fade (on pourrait comparer son jeu à delui de kaneshiro, sauf que ce dernier a commencé par bien jour pour devenir fade et que c'est l'inverse pour Andy). Joey wang fait ce qu'elle peut avec un rôle de potiche, et on a le plaisir de retrouver Ng Man tat.

Peu d'action, mais de bonne qualité, la première et la dernière partie sont très entrainantes. Sans le milieu du film et avec un meilleur scénario, on l'aurait eu notre film culte. Reste un bon divertissement, qui possède quelques passages jouissifs.

04 janvier 2008
par Chang La Rage


Gambling, blood, slapstick & chocolate

Fourre-tout alerte et jouissif dans lequel comédie grasse, action, violence et sentimentalité s'enchevêtrent sans réel encombre. On ne sait donc trop si le clou du film réside dans ses scènes de jeu – amusantes et adroitement filmées –, dans ses quelques gros gunfights à la John Woo – moins de virtuosité dans la mise en images mais tout autant de fureur et d'hémoglobine –, dans la performance pittoresque d'un Chow Yun-Fat qui passe avec une aisance déconcertante du gambler ultra-charismatique au bouffon de service ou encore dans certaines plages mélodramatiques du plus bel effet. Quoi qu'il en soit, derrière sa valeur historique qui le consacre comme l'avènement de tout un genre, ce God of Gamblers dépourvu de temps morts et délicieusement kitsch se suit dans une douce sensation de plaisir coupable. Avec en prime les trognes incontournables de Ng Man-Tat et Shing Fui-On et une BO fort sympathique signée Lowell Lo.



02 mai 2008
par Chip E


C'est pas le meilleur de la série

Un peu de gambling, un peu d'action, et ... ah oui, un peu de scénario (très très peu); un type qui ne perd jamais aux jeux se cogne la tête et oublie tout. Pas très original et des acteurs pas top (surtout Charle Heung très mauvais). Sinon ça se regarde sans trop d'ennuis.

22 avril 2005
par QuyTam


Culte mais décousu

LE film qui a posé le base du genre .Cependant le film se plante pendant une bonne demi-heure au milieu . Chow yun fat montre une fois de plus sa polyvalence et sa classe . A visionner pour comprendre les autres GOG et surtout allez voir après God of gambler returns !

01 novembre 2001
par bluesky


Sympa...

God of glamblers est un film qui se laisse regarder sans déplaisir, même si la deuxième moitié du film s'étire en longueur. J'ai bien aimé la façon dont est filmée la première scène de gamling, où l'on peut voir toute la puissance et l'aisance de Ko Chun. Les scènes d'actions tiennent la route, d'ailleur la scène de l'échafaudage en bambou est pas mal du tout. En se qui concerne l'aspect comédie, on plus tendance à sourire qu'à rire vraiment. Un film à voir une fois. Edit: après avoir vu la sequelle j'ai remonté un peu la note de celui la (2 à l'origine)

15 mars 2005
par hayaku


ce film est consternant!!

comment peut on trouver ca bien?? ce film est hillarant....c'est tellement nul!! on mélange les genre mais on arrive au final a une bouffonnerie asiat' vaguement drole par moment. mal joué(chow yun fat....),réalisé avec les pieds,ce film est a voir,pour se marrer et se dire qu'un tel navet a été fait!!! et dire que c'est la naissance d'un "genre".... a prendre au 520eme degré

03 juillet 2003
par mattMAGNUM


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