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Dr Wai

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les avis de Cinemasie

15 critiques: 3.08/5

vos avis

43 critiques: 2.71/5



Ryoga 3.5
MLF 3.25
MetalSeb 2.75 Un film assez moyen
Kame 3.5 On attendait mieux de ce clône d'"Indiana Jones" : de bons moments parfois
Junta 3.5 Film d'aventure avec Jet; Siu-Tung au commande, ça ne peut pas être que mauvais
jeffy 3.25 Ca se laisse voir
Ikari Gendo 2 Jet Li n'a pas fait que des chefs d'oeuvre...
Ghost Dog 1.5 Les enfants aimeront…
Gaetan 3.5 Indiana Jones version Jet Li : plutot réussi
François 3.5 Sans être un chef d'oeuvre, un divertissement très honnête au joli casting et à...
Flying Marmotte 3.75 Dr Wai in the Scriptures With No Words
drélium 1.5 Non mais il faut arrêter les gars (et les filles) ! une moyenne générale de 3 p...
Arno Ching-wan 3.5 Un stylo vous manque et tout est dépeuplé
Anel 4
Alain 3.25
classer par notes | date | rédacteur    longueurs: toutes longueurs moyen et long seulement long seulement


Un film assez moyen

Ce film n'est pas le meilleur de Jet Li mais j'avoue l'avoir regardé avec plaisir. Les scènes de combat sont assez originales (je pense aux ninjas) même si certaines scènes sont assez ridicules ( Le rat géant et Jet Li déguisé en femme, il fallait oser !). On notera la présence de Rosamund Kwan (tante Yee dans OUATIC) et la fin assez originale.

28 mai 2002
par MetalSeb




On attendait mieux de ce clône d'"Indiana Jones" : de bons moments parfois

Docteur Wai est l'archéologue qui tombe toujours là où il ne faut pas, ceci entraînant qu'il doit avoir d'autres capacités que celles habituellement requises pour s'en sortir. Comme pour les Il était une fois en Chine, on retrouve des aspects historiques de l'empire du milieu, et en particulier ici le traitement des journalistes 'déviationnistes' et les relations avec le Japon. Aspect plus pittoresque, l'impression d'un journal quand on n'a pas de système alphabétique : Gutenberg n'aurait pas pu naître en Chine.

Evidemment tout ceci ne représente qu'une vue parcellaire du film ; quelques images captées de temps à autre. Personnellement je trouve que ce film manque un peu de rythme, c'est son défaut majeur. Sinon les dialogues sont adorables et la voix-off est très bien exploitée. Dernier point enfin : on n'a pas de happy-end, et ça j'aime par dessus tout, quand ça ne finit pas totalement bien (d'ailleurs, et ça n'a vraiment, vraiment rien à voir, Daylight aurait un film vraiment fantastique si Stallone était mort à la fin).



22 octobre 2000
par Kame




Ca se laisse voir

Difficile de s'emballer pour le film, mais néanmoins il y a quelques points interessants, tout d'abord le double scénario de la version HK qui donne son véritable interet au film, ensuite Jet Li qui n'a pas trop a se fatiguer sur le plan martial mais qui nous fait une belle prestation d'acteur avec pas mal de second degré. Comparativement la varsion internationale semble appauvrie et ennuyeuse. Un Jet Li un peu décalé à voir en version HK.

12 octobre 2003
par jeffy




Jet Li n'a pas fait que des chefs d'oeuvre...

...et c'était déjà vrai à HK !

Même si, pour moi tout au moins, incroyablement plus intéressant que des navets venus d'ailleurs à la KOD, il faut reconnaître que cet ersatz d'Indiana Jones ne prend que moyennement.

On peut déjà dire que l'intrigue est cousue de fil blanc, ultra caricaturale, pas très bien construite (on se demande l'utilité de certains persos/scènes). Ce à quoi on répondra, à juste raison, que le but de ce film était manifestement de passer dans la catégorie des comédies second degré. L'ennui est que finalement, à part se dire que c'est ultra kitsch et lourd, on ne s'amuse pas tant que ça... Il me faut tout de même reconnaître que la scène très très lourde du rat géant m'a bien fait rire. Quant aux combats, sympa, sans plus.

Au final, un film pas vraiment désagréable, et même assez drôle si on aime l'humour lourd, agrémenté de quelques répliques cultissimes (Jet et son assistant déguisés en fille dans l'ambassade du Japon ;). Ceux qui adulent Jet en toute circonstance applaudiront des deux mains, pour les autre, il y a mieux à voir...



18 janvier 2002
par Ikari Gendo




Les enfants aimeront…

A mi-chemin entre Indiana Jones, Belmondo et Bioman, Dr Wai s’adresse en priorité aux enfants en bas âge. Ces derniers seront sans doute ravis à la vision de toutes ces aventures palpitantes, de ces cascades démentes, de ces monstres très originaux (un gros rat, un mort-vivant invincible!) et de cette boite magique que tout le monde tente d’attraper. Mais passé un certain âge, il y aura de grandes chances de trouver ce spectacle commercial bien fade. Jet Li, qui incarne à la fois le père de Takeshi Kaneshiro (bonjour la crédibilité...) et son maître à penser, domine une intrigue classique de course-poursuite derrière un objet de valeur ; c’est du déjà-vu, certes bien rythmé, mais avec si peu d’inventivité que cela en devient vite lassant. Quant aux dialogues, comme l’a dit François, ils sont souvent gratinés ! Ne pas éclater de rire ou rougir de honte en écoutant Takeshi nous dire en voix off « regardez mon papa comme il se bat bien ! » relève en effet de l’exploit …

Le réalisateur de Histoires de Fantômes Chinois n’était semble-t-il pas du tout inspiré avec ce projet bateau (on le comprend) ; il en résulte un gentil nanar que l’on peut facilement zapper de son répertoire.



06 avril 2002
par Ghost Dog




Indiana Jones version Jet Li : plutot réussi

Un mélange d'Indiana Jones pour le côté aventurier et Wong Fei-Hong pour le côté relationnel avec son assistant, nous donne le héros de ce film, le docteur Wai, interprété par un Jet Li très en forme. A la manière du Magnifique de Philippe de Broca, avec Jean-Paul Belmondo, ce film est raconté par le fils du héros, décrivant et commentant les aventures de son père.

Ce dernier doit retrouver un coffret contenant le secret d'un ancien parchemin détenant, d'après plusieurs légendes, une puissance infinie. Il n'est pas seul à le rechercher, ce qui va entraîner des combats et des quiproquos en série, notamment avec la "servante" japonaise et ses acolytes.

Comme à l'habitude, les combats menés par Jet Li sont tout bonnement impressionnants, il s'agit de véritables ballets, dont la chorégraphie est très bien orchestrée. Cela n'est pas sans rappeler les scènes de Il était une fois en Chine. Un autre point commun sont les relations entre les différents protagonistes, le docteur Wai, son assistant et les autres. Ce qui nous donne quelques quiproquos croustillants à souhait.

Pour conclure, il s'agit d'un très bon film, mélant combats et humour pour le plus grand bonheur de tous.



22 octobre 2000
par Gaetan




Sans être un chef d'oeuvre, un divertissement très honnête au joli casting et à l'humour cantonais étonnant

Cet émule d'Indiana Jones se démarque du lot par un traitement très humoristique, voire loufoque parfois. Ca fait bizarre de voir Jet Li déguisé en femme ou qui dit "Tais toi un peu, ça nous fera des vacances". On trouve donc beaucoup de comédie, pas mal de scènes d'action, avec des combats bien impressionnants, menés tambour battant par Jet Li et chorégraphié par Ching Siu-Tung, le réalisateur d'Histoires de Fantômes Chinois. On a même droit à quelques effets spéciaux. En bref, c'est de l'excellent divertissement si on ne se prend pas au sérieux (les dialogues sont gratinés parfois...) et plutôt original. A mi-chemin entre Indiana Jones et James Bond (pour les gadgets), Dr Wai ne laisse pas une seconde de répit.



22 octobre 2000
par François




Dr Wai in the Scriptures With No Words

A mi-chemin entre aventure et comédie, “Dr Wai in the Scriptures With No Words” de CHING Siu-Tung, réalisateur du célèbre « Histoires de Fantômes Chinois », nous propulse dans l’univers d’un Indiana Jones chinois, pour une aventure digne de ce nom.

Un Indiana Jones chinois
Une légende raconte qu’à la fin de l’ère Qing, le chef du clan Yim apprit que les moines tibétains détiendraient un coffret on ne peut plus spécial, qui serait la clef pour retrouver le « Soutra vierge » (objet magique qui donnerait à son détenteur le pouvoir de changer le monde.)
Le Clan Yim décida alors d’attaquer les moines tibétains et une grande bataille éclata dans le désert. Tous s’entretuèrent. On raconte qu’après le massacre le sable devint rouge. Le clan Yim et le « Soutra » disparurent alors à jamais.
Notre histoire commence peu avant la seconde guerre mondiale. Le Général Lone, chef des services secrets chinois, charge le Docteur Waï et son fidèle assistant Pao, de retrouver le fameux « Soutra vierge », ainsi que son coffret avant qu’il ne tombe entre les mains des japonais.

Deux versions pour un même film
Le film a été monté de deux manières, selon deux points de vues différents. La version officielle du film est racontée par le fils du Docteur Waï qui relate la vie de son père en le mettant sur un piédestal : « Il est aussi beau que les héros de publicité pour les cigarettes ».
La seconde version, qui est entièrement en cantonnais, et demeure quasi inconnue si ce n’est à Hong Kong, met en scène un écrivain de pulp en pleine procédure de divorce, forcé de continuer de donner vie à son héros le Docteur Waï. A la manière du « Magnifique » de Philippe DE BROCA, avec Jean Paul BELMONDO, il s’identifiera à son héros, et fera de son entourage les personnages secondaires.

Un casting impressionnant
 On ne fait pas des chiens avec des chats, et CHING Siu-Tung emploie les grands moyens pour ce film, et se dote d’acteurs plus célèbres les uns que les autres.
 C’est Jet LI, (le célèbre WONG Fei-Hung d’« Il était une fois en Chine » qui campera le Docteur Waï. Nous voyons ici un Jet Li différent de d’habitude, tout en humour, qui nous démontrera tout de même une fois de plus ses aptitudes à la pratique du Kung Fu.
 Madame Rosamund KWAN (Tante Yee d’ « Il était une fois en Chine »), éternelle fiancée de Jet LI, mais uniquement à l’écran, interprète, elle, Mademoiselle Yu FUNG, l’espionne japonaise dont notre héros tombera amoureux.
 On retrouvera aussi Takeshi KANESHIRO (« Les Anges Déchus ») en fidèle assistant, et Charlie YOUNG (« The Lovers », « Dans la nuit des temps »), en petite chipie habile au Kung Fu qui accentue le côté humoristique du film.

  Un film mi humour… mi kung-fu
 CHING Siu-Tung réalise ici une film qui sait allier l’humour à l’action, en passant par le suspense et l’émotion.
 Vous aurez l’occasion de voir Jet LI et Takeshi KANESHIRO déguisés en « femmes de petite vertu » pour une scène pleine d’humour et aux savoureux dialogues :
« - Mais pourquoi les femmes portent-elles tant de choses ? »
« - Mais pour mieux plaire aux hommes ! »
« - Faux ! Les hommes préfèrent les femmes nues ! »
 Jet LI ira même jusqu’à se parodier lui même en utilisant son véritable patronyme comme couverture : « Je m’appelle Jet LI » dira-t-il.
 Docteur Waï parodie certes Indiana Jones, car le Soutra vierge est tout de même une sorte d’Arche Perdue, ou de Saint Graal, mais il s’attaque aussi à James Bond. En effet notre archéologue de choc est doté de stylos tous plus redoutables les uns que les autres, et nous donne une nouvelle définition du coup de parapluie. Mais je ne vous en dirai pas plus à ce sujet car je suis pas un « spoiler » moi !
 Mais Docteur Waï, c’est aussi des scènes d’action à couper le souffle. Jet LI gravira la statue d’un taureau géant, « conduira » un train, combattra toutes sortes d’adversaires comme des ninjas, ou des sumos, jusqu’à un combat final digne des plus grands films de Hong Kong, à coups d’épées enflammées. Tout ceci nous prouve une fois de plus que Jet LI est une comédien complet qui mérite mieux que les scénarios qu’Hollywood lui propose. (Je ne citerai pas « The One » ni « Roméo must die »).
 Bref, le tout va a plus de 100 km à l’heure, et ce pour le plus grand bonheur du public. 

 Pour conclure, nous pouvons donc considérer que Docteur Waï, même si ce n’est pas le chef d’œuvre du siècle, est un bon film d’aventures riche en rebondissements et qui ne de finit pas, ce qui est assez rare pour être noté, par le traditionnel « Happy End » si cher à nos amis d’outre-Atlantique.
 Mais la fin vous fera réfléchir car le rideau tombera sur une sorte de morale qui est aujourd’hui plus que jamais d’actualité.
« Les gens ont peur de l’avenir. La peur engendre la haine. Aujourd’hui est la cause de demain. Demain est le fruit d’aujourd’hui. »

 



22 mars 2011
par Flying Marmotte




Non mais il faut arrêter les gars (et les filles) ! une moyenne générale de 3 pour ce navet innommable ?

Je m'insurge avec force, voici bien le film HK à gros budget le plus crétin jamais réalisé. Nous sommes au sommet de la montagne crétinerie chinoise, le scénario, les personnages, les chorégraphies, le rythme, le montage, en bref, tout est insupportable de crétinerie et de non sens. Sous ces airs d'Indiana Jones, se cache le plus mauvais Jet Li (avant les states où là ça se gatte vraiment) tout simplement parce qu'on pourrait en rire mais au final, on a plutôt pitié. Je ne citerais, pour m'appuyer, que les dialogues de ce top du ringard, aussi mauvais que les plus mauvais Jackie Chan, c'est dire... et pourtant il y a des moyens. Il suffit d'imaginer que tout, absolument tout dans ce film est à la hauteur de ces dialogues (tirés de la version française ok, mais ça ne change rien, à peine pire que la version cantonaise ou mandarin) :
Attention, il y a bien pire encore, mais ces quelques répliques, au moins, se comprennent hors du contexte.

L'assistant de Jet :
-"Regardez mon papa : puissant et racé vous ne trouvez pas ? (...) Il est aussi beau que le cowboy pour les paquets de cigarettes"


L'assistant :
-"dites, c'est plutôt chaud comme quartier"
Jet :
-"c'est normal, avec la pollution, ça fait effet de serre"

Jet :
-"Règle N°1 : ne jamais se battre en tongs"
-"Règle N°2 : ne jamais vendre la peau de l'ours" ?????????

Rosamund :
-"Quel est votre nom ?"
Jet :
-"mon nom !? Je m'appelle Brice Lu"

Dans la locomotive :
Jet :
-"Mais qu'est-ce qu'il faut faire ? je ne sais pas conduire ça moi."
Rosamund :
-"j'ai pris atelier cuisine et couture à l'école, je suis désolé"

Dans la prison, on leur balance du gaz :
le prisonnier :
-"si tu arrives à ne pas respirer pendant une heure, le gaz ne te fera rien."
l'assistant de Jet :
-"pendant une heure ! mais c'est impossible, vous y arrivez,vous ?"
le prisonnier :
-"moi..........mais bien sûre que non" (et il s'effondre)

Jet dans la scène finale s'empare d'une épée en feu et clâme :
-"que la force soit avec moi"

Ce qui vous donnera au final une idée bien faible du niveau ambiant. Notons aussi des plans incohérents par buldozers entiers : Rosamund saute d'un avion avec un parachute à la main, le plan suivant (1 seconde après) elle a le parachute bien attaché sur le dos... Sans oublier la présence d'un rat géant en peluche avec des dents de papier, des sumos en apesanteur qui volent à 15 mètres, un mort vivant censé être super dangereux qui attend 10 minutes histoire que tout le monde ait terminé de parler (vachement poli le gars), etc........ On est habitué avec la comédie chinoise, mais ici, les limites du non sens sont pulvérisées, l'histoire est tout simplement inbuvable et au final on s'emmerde ferme et on attend la fin avec impatience. Catastrophique........

28 janvier 2003
par drélium




Un stylo vous manque et tout est dépeuplé

Deux versions de ce film existent. Pour comprendre la différence entre le ciné HK d'avant la rétrocession et maintenant, il suffit de les voir toutes les deux. Il n'y a pas d'équivoque entre la version cantonaise et l'autre dite "internationale" mais finalement très mainland.

La version HK, c'est Le magnifique de De Broca façon HK. Et ça marche. Jet Li incarne un écrivain contemporain en plein divorce avec une femme jouée par Rosamund Kwan (gros écho OUATIC). Il se venge d'elle à travers son roman d'aventure, tandis que ses deux renforts à l'écriture - Charlie Young et Takeshi Kaneshiro - nuancent le propos au gré des sentiments des uns pour les autres. C'est charmant, glamour, gorgé d'action - l'affrontement avec les sumos est mémorable - et le fil conducteur, c'est le stylo. Chacun s'en sert pour améliorer cette histoire - très Harkienne, on peut écrire/changer le monde à quatre-six mains etc - et c'est également l'arme redoutable de Jet Li / Dr Wai qui en use pour vaincre ses adversaires (fouet et plume rétractable à la James Bond, n'est-ce pas). Dans la réalité, sa future ex-femme est victime d'un accident dans un ascenseur. Il la sauve, ainsi elle revient progressivement vers lui. Dans la fiction, le vilain a les traits du rival du héros, joué par un Collin - Flashpoint - Chou bondissant. Le MacGuffin n'est donc pas la boîte machin ni le canon bidule, mais bien les amourettes entre Jet/Rosamund et Charlie/Takeshi. Je divulgâche la fin : la fiction rejoint la réalité. La Rosamund imagée meurt et un génie révèle au héros qu'il la retrouvera dans le futur, à savoir le HK des 90's. Aux deux tourtereaux IRL de se faire des câlins, d'annuler le divorce à l'aide d'un smiley dessiné sur le contrat avec un... stylo issu de la poche de veste de notre cher protagoniste. Au générique final d'alors se lancer, un pompage / hommage à Belmondo avec une variante du Chi Mai de Morricone pour Le professionnel (morceau d'abord composé pour un film érotique rital, mais passons, elle a tout de même servi pour un enterrement).

La version internationale en mandarin, c'est-à-dire celle doublée en français ? Rien de tout ça. Juste de la fiction sans relief. Le stylo passe à l'arrière plan - tout au fond là-bas - toutes les scènes avec Bébel tapant à la machine à écrire sautent et au final le génie ne révèle plus au Dr Wai qu'il retrouvera son aimée dans le futur, mais que les Japonais perdront la guerre. Alors que Jet cesse donc de penser à son petit cœur et qu'il s'intéresse davantage au bien commun en faisant preuve d'altruisme, sacré nom ! Générique de fin lambda, la Chine a gagné et, bien avant le Hero de Yimou, Jet Li fait déjà preuve d'abnégation. Tout est dit.

08 août 2022
par Arno Ching-wan


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