==^..^== | 4.25 | Tout simplement irrésistible ! ! ! |
Ikari Gendo | 4 | C'est lui l'Homme avec un grand H : City Hunter... |
Junta | 4.5 |
Ryo
Le personnage de Ryo porte complètement cette série. Il est incroyable et comme souvent chez Hojo, son caractère, superficiel en apparence, cache un passé des plus tristes. Il est réellement imbattable et n'a aucun point faible si ce n'est son attachement pour Kaori . City Hunter mérite bien son rang de meilleure gâchette mais aussi de plus gros satire du Japon (ou peu être du monde) en étant le roi du "Coucou".
Une histoire entraînante et pleine d'humour
Le gros point fort de ce manga tient à son humour. Ryo est tellement impossible et toujours à faire des bêtises. J'ai rarement autant rit (excepté pour Dr. Slump ). Bien sûr les 36 volumes de l'histoire la rendent un peu longue et répétitive, cependant l'auteur a su remonter l'intérêt dans les derniers volumes en faisant ressurgir le passé tourmenté de City Hunter. Seul accroc : la chute finale de la série, en queue de poisson, est assez décevante.
Un graphisme en progression
En comparaison avec Cat's eye, on voit bien que Hojo a atteint un stade supérieur. Niveau qui ne cesse d'ailleurs pas de s'améliorer au fil des volumes pour atteindre la perfectionnisme qu’on lui connait.
Manga - série TV
Qui n'a pas en mémoire les voies ridicules des grosses brutes de Nicky Larson ... Naturellement, la version manga ne permet pas de restituer les sons, mais l'absence de censure et la meilleure qualité des dessins lui donnent largement le dessus sur l'adaptation TV.
City Hunter est des grands classiques du manga, surtout en France où la série a connue un franc succès. Toujours drôle, porté par des dessins admirables, City Hunter est un manga remarquable, à mes yeux beaucoup plus réussit que son adaptation à la télévision.
Les deux premiers tomes sont les plus violents de la série. Ensuite Ryo se calme et (comme la plupart des héros) préférera désarmer ses adversaires plutôt que les tuer... En ce point il diffère de Cobra avec qui il partage la palme du représentant le plus caractéristiques de la gent masculine dans l'histoire de la BD : râleur, très porté sur la chose, parfois maladroit et distrait, mais aussi fort, courageux et habile au moment opportun. Avec un coeur gros comme ça (même s'il préfère ne pas le montrer pour garder son image de tueur intraitable...) Ryo est définitivement l'un des héros les plus attachants jamais dessiné !
Une qualité exceptionnelle du dessin et du scénario (même si parfois celui-ci peut être un peu répétitif), que demander de plus sinon une suite (d'ailleurs une fin peu achevée laisse ouverte la possibilité d'une éventuelle reprise de la saga...) ?