Put off my fire !
C’est ignoble. De la part de Billy Tang, je m’y attendais mais on est bien dans le pire de la Cat III, ce qui se fait de plus racoleur worldwide, presque du même niveau que son Rouge comme la mort dans l'idée, pas dans les actes par contre. Pas d’horreur ou de scènes horribles vraiment explicites, c’est encore et toujours l’immoralité la plus graveleuse qui pousse ce genre de film à se faire remarquer. Sexe et abus, on frappe les enfants, on insulte les grands-mères, on viole la femme de son frère, tout un programme…
Le genre de films qui mise carrément sur la pulsion de meurtre du spectateur, nous assène en guise de cible à abattre, le plus grand roi des connards jamais filmé, William Ho au sommet du mont hystérie, qui n’a de cesse de pourrir la vie de sa famille et passer par les cases Macau, prison, retour chez ses parents pour leur en faire baver des ronds de chapeaux jusqu’à l’instant libérateur où son frère devenu fortiche en Tae Kwon Do tout exprès, décide de lui mettre sur la tronche littéralement, instant qui vaut bien la moitié haute de l’affiche du film. Rien que le concept d’une vengeance fratricide dramatique à coups de kicks de Tae Kwon Do, c’est déjà tout un concept tordu qui lorgne sur la violence gratuite seule.
Et qu’est-ce qu’on a en bas de l’affiche ? Lilly Chung à poil… Toujours disposée à jouer son double personnage de l’innocente comme la fraîcheur des prés d’un côté et du corps transpirant, violé et abusé jusqu’à plus soif de l’autre, la coquine attire un gros milieu du métrage à tenter de faire jouir son mari, traumatisé dans sa jeunesse par un coup de pied dans les roubignolles bien placé par son sale frangin, puis elle-même dans un interminable spectacle de débauche érotique infâme sur fond de musique des Feux de l’amour Croate. Un supplice que je n’ai pu m’empêcher de zapper (ça dure plus d’une demi-heure en plus ces conneries !) pour revenir à ce bon William qui va finir par vraiment énerver son frère pour de bon.
Absolument navrant. Autant prévenir, c’est nul, haineux, racoleur, putride mais William Ho gagne sa place dans le tiercé des méchants cinglés de la Cat III, derrière les indétrônables : Ben Ng dans Rouge comme la mort, et le King Anthony Wong dans Untold Story ou Ebola syndrome, qui s’amuse ici à jouer rapidement un avocat irréprochable juste pour faire plaisir à ses fans.
Moins glauque que les poids lourds de la cat III tout de même, William Ho faisant tout le boulot par sa seule prestation de frère excessif et grimaçant, mais on tient bien là l'un des personnages les plus chieurs du cinéma mondial.
Faux frère
Six mois après le second "Daughter of darkness", le producteur de CAT. III Kimmy Shuen désire continuer à surfer sur "la vague de succès" et deamnde à réunir une nouvelle fois le casting des "Daughter" sous la houlette de Billy "Bloody" Tang (et non plus Ivan Lai).
On ne change pas une formule, qui gagne, et ce film réunit à nouveau tous els ingrédients essentiels de la CAT. III, dont le viol (ou du moins une tentative), de la violence domestique, violence sur mineurs, scènes chaudes (ou plutôt tièdes dans ce cas) et des meurtres gratinés. Sur une prétendue trame de "faits inspirés de la réalité", les scénaristes décident de bannir cette fois tout humour – du moins volontaire, car rien que la perruque d'Anthony Wong est un grand moment de cinéma hongkongais.
Un autre "monument" du genre de la CAT. III, solidement emballé pour les fans, hyper choquant pour ceux non familiarisés avec le genre et d'un ennui mortel pour tous les autres!
Brother of pas grand chose.
A l'image d'Anthony Wong (parfaitement ridicule avec sa perruque d'avocat) qui ne sait pas bien se qu'il fait dans le film, on ne sait pas bien pourquoi on regarde ce film qui n'a pas grand chose à raconter (un frère psychopathe qui vient faire chier sa famille quand il sort de prison).
Ho Ka Hui gueule ou baise sa femme dès qu'on le voit et Lily Chung se masturbe histoire de passer le temps.
A noter que Ho Ka Hui aurait sa place dans un film de la R&B car il a une capacité à ce faire balancer sur toute sorte de meubles à en rendre jaloux les cascadeurs de "Yes Madam".
Un film à réserver aux fans de lily Chung et à ceux qui n'ont rien d'autre à faire (comme moi).
Encore une GROSSE daube !!!
Un homme est arrêté pour le meurtre de son frère. Au cours de son procès, on découvre bien vite toutes les souffrances que son frère a fait subir à sa famille et à son entourage.
Au debut le film commençait bien pourtant , le realisateur "Billy Tang" semblait maitriser son sujet , mais soudain voila que cela devient n'importe quoi !!!
Comme en temoigne cette sois disant fameuse scene de masturbation feminine dans la salle de bain au milieu du film ( interpreter vraiment n'importe comment par l'actrice principale "Lily Chung Suk-Wai" ) .
Anthony Wong fait partie du casting avec son petit role d'avocat assez bien joué tout de meme ( presence dans le seul but de satisfaire ses admirateurs certainement ) .
Bref avec le degueu "Ebola Syndrome" et l'immoral "Red To Kill" , voici qu'arrive sur le podium des plus mauvais CAT 3 "Brother of Darkness" qui a reussi l'exploit de sortir en france en DVD ( n'importe quoi !!! ) .
Je me suis ennuyé grave meme pendant la fameuse scène de la baignoire.