vandamme aware!! rgrder tos linterwiew de jean claude vandamme(je sais pas de quand elle date mais !!)ca a un rapport avec tsui hark et john woo !!
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05/01/02 10:10
par hkfanatic 91
cDR
Jean-Claude Van Damme
« Tsui Hark est fou ! »
15/09/1999
Interview
Vous préférez travailler avec des Asiatiques ou des Américains ?
Rien à faire. Tu me donnes Tony Scott, je plonge. Tu me donnes Alan Parker, je plonge. Mais tu vois, j'ai fini tous les contrats que j'avais signé, à la Cannon, la Columbia... Maintenant, je suis nu. Je n'ai rien. Mais, j'ai plein de propositions de producteurs comme Joel Silver... Je veux commencer des gros films avec de grands réalisateurs.
Le succès du Grand tournoi, votre unique réalisation, aux Etats-Unis vous donne-t-il l'envie de repasser derrière la caméra ?
Pas vraiment. Ce film aura pris deux ans de ma vie. Et puis, m'entraîner physiquement, me lever à six heures du matin, une heure de route, tourner pendant douze heures... Je savais exactement ce que je voulais avant de tourner le film, parce que j'avais déjà découpé toutes les scènes dans ma tête. Ensuite, tu reviens du tournage, pas d'air conditionné, il fait chaud, etc. Et tu dois aller à la salle de gym, t'entraîner à onze heures et demie du soir. Tu t'entraînes, t'es fatigué. Et si tu t'entraînes pas dur, ce n'est pas un bon entraînement. Tout ça, c'était trop crevant !
Propos recueillis par Jean-Pascal Grosso
Nouveauté : Piège à Hong-Kong
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D'accord, Jean-Claude Van Damme n'est pas Alain Cuny, et il reste définitivement plus enclin à jouer des poings que du Claudel... Mais c'est quand même le premier Belge de l'Histoire à avoir réussi à Hollywood ! Entretien pour la sortie de Piège à Hong Kong, film d'action signé d'un des « grands » du cinéma local, Tsui Hark.
Fnac.net : Parlez-nous un peu de Tsui Hark...
Jean-Claude Van Damme : Ce type est un fou ! (rires). Et en plus, il ne dort jamais. Sur le plateau, il parle tellement vite que les gens ont parfois des difficultés à le comprendre. Alors, il a un médiateur qui lui sert d'interprète, parce qu'il s'énerve souvent. Il va sur sa chaise et il s'endort pendant vingt minutes. Je ne sais pas comment il fait. C'est un fou, mais je n'ai jamais vu un type avec autant de talent.
Vous également tourné avec John Woo, Hard Target, en 1993. Voudriez-vous travailler de nouveau avec lui ?
Non. Jamais.
Ça s'est si mal passé ?
Non, ce n'est pas ça. Depuis, j'ai rencontré Ringo Lam. Il travaille constamment sur l'intrigue et le jeu des acteurs. Et s'il n'est pas content de la scène, on recommence. Je le respecte. C'était mon premier véritable « metteur en scène ». Il n'y a pas de comparaison entre Ringo et John Woo...
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